Dans cette vidéo la jeune femme, sous protection policière, ironise sur la religion musulmane de façon peu diplomatique dans un contexte brûlant dans l’Hexagone. « Et dernière chose, surveillez votre pote Allah, s’il vous plaît, parce que mes doigts dans son xxxx du xxx, j’les ai toujours pas sortis », dit-elle notamment, une séquence devenue immédiatement virale sur les réseaux sociaux et qui a déclenché une vague de menaces et d’insultes à l’égard de l’adolescente, dont elle s’est d’ailleurs fait l’écho elle-même. [...]
« Le lynchage que je vis est hard. Je reçois une trentaine de menaces et messages haineux à la minute. Les frustrés ne comprendront donc jamais que j’ai plus de peine pour eux et leur secte qu’autre chose » avait-elle aussi déclaré samedi. (Le Parisien)
La jeune #Mila est de nouveau cible de harcèlement, menaces de mort, photomontages morbides...
Ce n’est plus de la controverse c’est de la persécution, contre une mineure qui plus est.
J’adresse dès lundi matin un signalement au Procureur (article 40)#ProtegeonsMila #Justice— MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa) November 15, 2020
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Après l’assassinat de Samuel Paty, le 16 octobre, je me suis demandé comment j’allais pouvoir en parler aux élèves que j’aurais lors de la minute de silence, le 2 novembre. J’étais étonnée de n’avoir rien vu passer sur les réseaux sociaux, alors que d’ordinaire les élèves réagissent au quart de tour à l’actualité, comme lorsqu’on a interdit à des filles de porter des crop-tops. Là, rien. Je me suis dit : ce n’est pas normal, il y a quelque chose de souterrain.
J’ai commencé mon cours en présentant des dessins de Daumier [un célèbre caricaturiste du XIXe siècle], puis des Unes de Charlie Hebdo, mais pas celles représentant Mahomet. Jamais, je n’ai employé le mot caricatures. Le cours s’est bien passé. Après, je leur ai dit de prendre une feuille et de répondre, anonymement, à ces trois questions : Que s’est-il passé le 16 octobre ? ; Qu’avez-vous retenu du discours d’Emmanuel Macron lors de l’hommage à Samuel Paty ? ; Y a-t-il des points que vous souhaitez évoquer ?
Et là, je suis tombée de ma chaise. En résumé, un tiers des élèves disait : Ce n’est pas normal de critiquer l’islam, comme les autres religions, d’ailleurs ; C’était mieux avant quand il n’y avait pas de liberté d’expression ; « Pourquoi les caricatures sont-elles aux programmes ? » ; Je ne vois pas l’intérêt de parler de tout ça. Nous avons échangé là-dessus. À la fin, je leur ai dit, pour détendre l’atmosphère : Rassurez-moi, vous n’allez pas me décapiter ? Un élève m’a répondu : Vous inquiétez pas. Pas vous… (Ouest France)
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Le 13 novembre 2015, la France était plongée dans l’horreur avec l’attentat terroriste du Bataclan. Une attaque meurtrière faisant 90 morts. Le 5 novembre dernier, sur C8, l’ancien patron du Raid, Jean-Michel Fauvergue, aujourd’hui député LREM, est revenu sur cet événement tragique. Ce dernier a ainsi confié avoir été le premier à rentrer au Bataclan avec la colonne d’assaut. Un récit qui n’a pas vraiment été du goût de ses anciens collègues.
Dans un témoignage à Marianne, un policier à la BRI (Brigade de recherche et d’intervention) présent sur place en 2015, assure qu’il s’agit d’une invention et que c’est « un manque de respect pour ceux qui l’ont réellement vécu ». Dans la foulée, Jean-Michel Fauvergue a quelque peu nuancé ses propos. « Si j’ai dit ça, c’est sans doute dans le feu de l’action, je n’étais pas le premier », a-t-il ainsi précisé à Marianne. (Valeurs actuelles)
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Interrogé sur le plateau de CNews à propos de la représentation que porte la figure du général de Gaulle aujourd’hui, Éric Zemmour a évoqué que la politique d’Emmanuel Macron était opposée aux notions du gaullisme et a pointé deux façons de rétablir la souveraineté du peuple.
#Zemmour : « Il faut mettre à bas le pouvoir des juges qui ont kidnappé la souveraineté du Peuple et recourir au référendum, notamment sur l’immigration ! »
Voir l'émission > https://t.co/PWjqdD6ngr
— L'actualité d'Éric Zemmour (@ZemmourVideos) November 15, 2020
L’une devrait se faire « par le référendum, par les grands sujets, par exemple, sur l’immigration. Il y a des mesures radicales à prendre que les juges ne nous autoriseront jamais à prendre. Il n’y a que le peuple qui peut être convoqué pour dire s’il est pour ou contre », a-t-il déclaré dans l’émission Face à Face.
« Je pense que ce sont les juges qui ont kidnappé la souveraineté du peuple avec toutes les cours suprêmes qu’on a, le Conseil Constitutionnel, le Conseil d’État, la Cour de Cassation, la Cour européenne des droits de l’Homme, la Cour de justice des Communautés européennes ». (Sputnik News)
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Il fait passer des migrants en France et quand on lui dit que parmis les migrants qu'il a hébergé il y avait peut-être le terroriste qui a tué 3 personnes à Nice, il se dédouane de tout. C'est assez lamentable comme comportement, il faut assumer les conséquences de ses actes !
— lolo (@lolofromMars) November 14, 2020
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« Ma crainte, c’est que les Français ne se fassent pas assez vacciner », souligne-t-il. Selon un sondage Ipsos publié en septembre, la France se situe en effet parmi les pays où l’intention de recourir au vaccin est la plus faible. Ils ne seraient ainsi que 59 % à se faire vacciner contre le Covid-19 en France, contre 74 % au niveau mondial.
« Une certitude : les rassemblements festifs, familiaux dans des salles de fêtes ne pourront pas reprendre avant longtemps. De même, les bars et les restaurants qui font aussi partie des endroits de contamination forte ne pourront pas rouvrir dès le 1er décembre, contrairement aux magasins de jouets, par exemple », détaille le Premier ministre. (Le Figaro)
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Pr. Michaël Peyromaure : « On va massacrer un pays pour sauver 30.000 vies » dans #LaMatinale pic.twitter.com/wMRSLUceOP
— CNEWS (@CNEWS) November 13, 2020
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Elle « assume ». Contactée par « l’Obs », la députée Martine Wonner – élue en 2017 sous la bannière La République En Marche et qui, depuis son exclusion du groupe macroniste à l’Assemblée nationale, siège dans le groupe parlementaire Libertés et Territoires – le dit tout net : contrairement à Philippe Douste-Blazy qui a demandé à en être retiré, l’élue du Bas-Rhin ne regrette pas le moins du monde sa participation au documentaire « Hold Up ».
Un film qui, depuis sa mise en ligne le 11 novembre dernier, n’en finit plus de susciter la polémique. Phénomène viral (rien que sur YouTube, la bande-annonce avait été vue ce vendredi près de 600 000 fois), « Hold Up », qui prétend raconter l’histoire secrète du COVID-19, aligne en près de trois heures affirmations approximatives et contre-vérités sur les effets du confinement, les masques, etc. Le tout sur fond de dénonciation d’une supposée manipulation mondiale. (L’Obs)
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Que l’on trouve rassemblés dans Hold-up la poignée habituelle d’illuminés est attendu. Il est plus étonnant, et accablant, que l’on y retrouve, dans deux interventions différentes, la sociologue Monique Pinçon-Charlot parlant « d’holocauste ». Monique Pinçon-Charlot que nous avons, ici, sur ce site, invitée cinq fois en dix ans dans nos émissions. Beaucoup de ceux qui, ces derniers années, ont jugé ses travaux d’exploration de la classe des super-riches formidablement culottés et éclairants (et j’en suis), ont été accablés de découvrir, sur les réseaux sociaux, un extrait de trente secondes de Hold-up. (Arrêt sur images)
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Enfin pour que vous jugiez par vous même du délire toxique de ce docu, cet extrait de Monique Pinçon Charlot qui part en sucette. Alerte point Godwin. pic.twitter.com/wIErEPhRei
— Tristan Mendès France (@tristanmf) November 11, 2020
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Après que la présentatrice senior de CNN,Christiane Amanpour,ait comparé Kristallnacht aux 4 ans de Trump,le MAE israélien a envoyé une lettre à CNN demandant des excuses : « La comparaison entre Kristallnacht et les actions de Trump est inacceptable,des excuses sont nécessaires."
— abraham ben isaac (@abrahambenisaac) November 16, 2020
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Ça devient gonflant ces tweets anxiogènes et presque déconnectés. Perso me désabonne. Bye
— FraCaS (@Pourkoippa) November 15, 2020